PETITE PRECISION QUI A SON IMPORTANCE :

Chèrs lecteurs et lectrices;

Le domaine de l'édition et des maisons d'éditions étant très vaste et très souvent couteux, j'ai donc décidé de me lancer dans l'Autoédition pour ce livre.

Ceci implique du temps et un certain investissement personnel et financier.

De ce fait, je vous demande svp une certaine indulgence concernant les coquilles (fautes) qui se sont malheureusement incrustées dans les textes.

Après des années de brouillons et d'incertitudes pour me lancer, voilà enfin...

Il aura fallu, 9 mois de gestation dont deux mois de corrections en corrections avec ma bien-aimée douée dans la relecture...d'impression en impression et youpi!  l'accouchement de mon livre.

Et...si il y a des coquilles, Pardon ! C'est que le bébé c'est présenté par le siège provoquant une césarienne. Aille ça va faire mal au yeux des lecteurs. D'ailleur à ce sujet, j'ai mes yeux aussi rectangulaires que mon écran de PC LOL !

Tant pis, moi je lis et j'écris avec le cœur avant tout et ce, malgré ma French écriture.

Bonne naissance et bon accouchement à vous tous autoéditeurs.

Merci pour votre compréhension...

En imprimerie, une coquille est une erreur typographique.

Concrètement, une coquille correspond donc à une faute qui s’est glissée dans le texte. Le terme est aujourd’hui resté pour exprimer « une bourde » ou un oubli. Mais quel rapport avec une coquille ? Coquille d’œuf, d’escargot, de coquillage ?

Il existe plusieurs origines à cette expression, qui touchent davantage à la légende qu’aux faits historiques. Ce que l’on sait avec certitude, c’est qu’autrefois les typographes, héritiers de Gutenberg, assemblaient des caractères d’imprimerie en plomb afin d’élaborer des textes. Le typographe se servait d’un composteur sur lequel il alignait les caractères, piochés dans une boîte en bois appelée casse, dans laquelle les lettres étaient classées par taille. Ces blocs de plomb étaient très petits et, malgré la dextérité du typographe, il arrivait qu’ils se logent dans la mauvaise case de la casse. Par mégarde, il pouvait donc piocher une lettre à la place d’une autre. Certains lient l’expression à un malheureux oubli. À la suite d’une délibération sur le calibrage des œufs à l’Assemblée nationale, le Journal officiel aurait diffusé un texte avec une erreur d’impression : la lettre « q » fut oubliée dans « coquille », et c’est le mot grossier que l’on connaît qui fut publié à sa place. De cette fâcheuse anecdote serait resté le terme de « coquille », dans le monde de l’imprimerie et plus largement dans le langage populaire. Une autre légende précise que les plaques d’impression étaient nettoyées avec du blanc d’œuf. De petits morceaux de coquille d’œuf se seraient donc collés sur les plaques, provoquant des erreurs à l’impression. D’autres encore font référence à Saint-Jacques-de-Compostelle, où les pèlerins se rendent pour se purifier de leurs fautes… et dont le symbole est une coquille. Quelle que soit la légende évoquée pour cette « coquille », l’expression a bel et bien une origine liée à la typographie, car le terme fait son apparition en 1723 dans l’ouvrage La Science pratique de l’imprimerie de Fertel. Espérons que ce manuel sera sorti sans coquille à l’impression.